C’est la question à laquelle tente de répondre une étude publiée ce jour par l’institut Biosphère de Genève, commanditée par l’association Sortir du nucléaire Suisse Romande (et soutenue financièrement, entre autres, par les villes de Genève et Neuchâtel). Cette recherche a été confiée à Frédéric-Paul Piguet, docteur en sciences de l’environnement, qui s’est entouré d’une équipe pluridisciplinaire (médecins, géomaticiens, météorologues…).

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